Lors de mon séjour ornithologique en Thaïlande j’ai admiré plus de 150 espèces d’oiseaux… dont le Garrulaxe bruyant!!! Quel nom surprenant pour cet oiseau dont je vous présente la nouvelle galerie sur mon site http://www.ornitho.photos.
la seconde lettre d’infos de mon site dédié à la photographie ornithologique vient de paraître. Elle est accès sur mon voyage en Thaïlande de 2015… mais pas que cela ! présentation des nouvelles galeries photos et un diaporama d’espèces rencontrées durant ce voyage….
vous pouvez la visualiser en cliquant sur l’image ci-dessous.
Les retours de mon superbe voyage ornithologique en Thaïlande ne se font pas attendre : je suis toujours en cours de tri des prés de 10 000 clichés réalisés en dix jours mais j’ai déjà pu mettre en ligne quatre nouvelles galeries dédiées à des oiseaux observés lors de ce premier voyage en Asie.
Durant mon séjour ornithologique en Thaïlande (Bird watching in english please) j’ai eu l’occasion d’observer deux espèces de Cormoran asiatique… des oiseaux communs en Asie mais j’ai un amour immodéré pour le regard du Cormoran à cou brun.
Comment surprendre son guide ornithologue pour qu’il comprenne à quel genre de photographe hurluberlu il a a faire…
Durant mon récent voyage ornithologique en Thaïlande où j’ai découvert plus de 150 espèces d’oiseaux j’avais un guide ornithologue et son assistant, tous deux thaïlandais, qui étaient aux petits soins pour moi… même trop.
Alors lorsqu’un des premiers après-midi il s’est mit à pleuvoir il est alors devenu impossible pour eux que je fasse des photos. Mais nous étions au bord d’une rizière d’un vert intense et j’ai vu ces Tisserins de deux espèces (Tisserin de Baya, le moins jaune et Tisserin doré asiatique) sur des joncs avec la rizière en arrière-plan et la pluie qui tombait… trop graphique pour passer à coté. J’ai donc demandé à mes 2 guides de s’arrêter et j’ai commencé à sortir du 4×4.
mon guide Khun Tui m’a alors dit « but M. Adt it s raining »
ma réponse a fusé « Yes… but it’s not a problème » et je suis sorti…
Dès lors mes deux guides savaient à quel genre d’hurluberlu ils avaient à faire !
Ils sont sorti en vitesse et nous ont tous trois protégés avec une bâche… pendant que je faisais de photos comme je les espérais… et je vous les présente ci-dessous.
A Mayotte existe une espèce d’oiseau endémique très petite le Souimanga (Cinnyris coquerellii), petit nectarivore que j’adore photographier et que je vous ai déjà présenté. Et lors de mon dernier séjour à Mayotte le propriétaire de la chambre d’hôte ou je dors connaissant ma passion pour les oiseaux m’a montré un nid à coté de sa terrasse. Rendez-vous était pris avec ce couple de passereau pour 3h de photo le lendemain matin.
Quel nom surprenant que celui de chevalier aboyeur pour un oiseau. Ce limicole de belle taille (environ 30cm, le plus grand des chevaliers) niche dans le nord de l’Eurasie et vient hiverner dans l’Océan Indien entre autre. Plus de 9000 kilomêtres de migration ! Lors de l’hiver austral on peut le trouver à la Réunion mais plus communément sur les vasières ou mangrove de Mayotte et de Madagascar. Celui-ci peu farouche photographié à Mayotte a bien voulu poser pour moi et même me faire un peu d’étirements.
Madagascar est une terre de biodiversité et l’avifaune ne fait pas exception. Lors de mon dernier voyage j’ai eu l’occasion de photographier ce superbe petit rapace diurne le Épervier de Madagascar. Il est un des rares épervier endémique (statut quasi menacé ) de Madagascar et mesure 35 à 40cm. Il consomme des proies de petites tailles comme des insectes ou reptiles. Celui-ci dessous restait le matin dans les arbres à coté du restaurant ou je prenait mon petit déjeuner… mais fuyait dès que l’on s’intéressait à lui.
Mais un beau matin il m’a fait l’honneur de poser pour moi quelques secondes.
J’adore ce regard si caractéristique des rapaces : ils vous percent de leur regard.
Très peu d’information sur cette espèce sur internet mais wikipedia en parle un peu
Après vous avoir présenté sa dame dans cet article autour de monsieur Terpsiphone mutata d’apparaître sur cette page.
L’avantage avec cette espèce c’est que le dimorphisme (différences sexués) entre femelle et mâle est tel que même en vol il est facile de reconnaître Madame de Monsieur.
après vous avoir présenté sa dame dans cet article autour de monsieur Terpsiphone mutata d’apparaitre sur cette page.
l’avantage avec cette espèce c’est que le dimorphisme (différences sexués) entre femelle et mâle est tel que même en vol il est facile de reconnaitre Madame de Monsieur
voici donc Monsieur le Gobe-mouche de Paradis de Madagascar avec ces belles couleurs bleue et blanche et ces longues plumes caudales
adt gilles photoblog 